
Circutor | 2 de décembre de 2025
La lutte contre le changement climatique et l'utilisation responsable de l'énergie ne sont plus un simple engagement environnemental, mais sont devenues une nécessité opérationnelle et financière. Dans ce contexte, la France a mis en œuvre le Décret Tertiaire, une réglementation qui transforme la gestion des bâtiments du secteur tertiaire (bureaux, hôpitaux, centres éducatifs, logistique) de plus de 1 000 m2.
Pour le responsable de maintenance, c’est bien plus qu'une nouvelle réglementation ; c’est l’occasion de prendre le contrôle total des installations, de justifier les investissements en rénovation et de garantir la continuité du service tout en atteignant les objectifs d’économies.
Le décret impose une réduction progressive de la consommation d'énergie par rapport à une année de référence (choisie entre 2010 et 2019), avec des étapes incontournables :
La conformité est validée par le biais du rapport annuel sur la plateforme OPERAT (ADEME). Cela signifie que les organisations ne doivent pas se limiter à « économiser », mais qu'elles doivent mesurer, enregistrer et rapporter des données fiables chaque année.
Pour respecter la norme sans mettre en danger l'opérabilité de l'usine ou du bâtiment, la première étape consiste en un audit basé sur des données réelles, et non sur des estimations. Cela permet de prendre des décisions techniques basées sur des données et non sur l'intuition.
Succédant au célèbre CVM-E3-MINI, le nouveau CVM-D50 évolue vers une gestion connectée. Cet appareil ne se contente pas de mesurer ; il diagnostique l'état de votre installation électrique pour anticiper les pannes.

CVM-D50
Le plus grand défi administratif du Décret Tertiaire est la gestion des données. Le responsable de maintenance a besoin d'outils qui éliminent les rapports manuels et garantissent la traçabilité des informations lors d'un audit.
Pour clôturer le cycle d'efficacité, Circutor propose une architecture qui connecte la mesure à la plateforme officielle :
ÉCRIT PAR CIRCUTOR